Les fantasmes de stef

Zoenje est partie en Hollande. Depuis cinq jours, je suis seul et un léger déséquilibre de mes énergies se fait ressentir. Nous communiquons via le net, outil que j'utilise pour lui dire combien j'ai envie d'elle. Je ne lui ai jamais dis que j'étais érotomane seulement que j'avais des besoins sexuels important. Mais maintenant au bout de quatres nuits, le manque me titille doucement et je sais qu'il n'ira qu'en grandissant. Pas question de lui être infidèle et je ne pense pluqu'à me masturber. Pour le moment je me demande à quoi je vais penser pour atteindre les extases dont je manque cruellement... 

Carmen,

Comment oublier une telle femme ?
J'ai souvenir d'une fois où, installé dans le canapé, elle dans le fauteuil en face, juste séparés par la table basse en verre,
Carmen m'avait demander de me déshabiller afin de croquer mon corps sur une feuille à dessin. Seulement voilà, une fois nu, assis, une jambe repliée et écartée, lui faisant face, son regard ne se portait que sur mon sexe et je devinais facilement qu'elle ne dessinait que cette partie de mon corps. Je devinais aussi son excitation à la vue de mon membres de plus en plus gros et dressé. Quand mon érection fut complète, en proie à une forte excitation également, Je contractait mes muscles du périnée provoquant ainsi les mouvements de mon sexe. A chaque soubresauts Carmen prenais de grandes inspirations. Au bout d'un moment, elle posa son crayon et me demanda de me branler là, deux mètres en face d'elle. Elle me demanda de ne mettre qu'une seule main pour continuer à voir ma queue, puis me laissa utiliser la deuxième afin de masturber tout mon sexe entier. Mon gland disparaissant et apparaissant alternativement de ma main supérieure. Je n'attendais que son ordre pour gicler de toutes mes forces. Elle le devina évidemment et me lança:

- Mets toi à genoux, je veux te voir jouir sur la table!

Tandis que je m'exécutais, elle se pencha en avant pour voir de plus près. J'étais maintenant à genoux et tendais mon corps pour bien mettre mon membre en avant.

- Dis moi quand tu veux que...
- Maintenant, vas-y, maintenant ! Me coupa-t'elle

Je serrais plus fort et accélérais le mouvement. Un cri me monta en même temps que ma jouissance. Je sentis de ma main mon sperme parcourant ma queue avant qu'il ne gicla sur la vitre de la table ainsi que sur Carmen éclaboussée juste sous un oeil.

Nous sommes ensuite allés dans la chambre où je lui léchais la chatte jusqu'à boire son miel.
Elle me montra son dessin qui ne représentait que mon bas ventre avec mon sexe turgescent remplissant toute sa feuille.

Je suis assis dans un coin du café, il fait très chaud dehors, je porte mes jeans et j'ai quitter mon tee-shirt. J'ai bien remarqué une femme aux cheveux blonds frisés qui est venue accompagner son compagnon à son travail. Une fois disparu dans les cuisines, elle s'est installée presque à l'autre bout de la salle à une table me faisant face.

Elle porte une jupe flottante rouge et blanche et balance ses jambes que je peux facilement admirer de là où je me trouve. Elle les écartent et les referme en un mouvement lent et régulier. Chacun de ses légers mouvements attirent mon regard, je referme mon journal trop déconcentré par cette femme jeune et belle. Je la trouve très à mon goût et je sens une douce excitation monter en moi. Elle me sourit timidement en croisant mon regard. Je fais semblant de m'intéresser à nouveau à mon journal et j'aperçois soudain la blancheur de sa culotte entre ses jambes qu'elle garde ouvertes, inconsciente de la chose.

Mon regard doit être suffisamment insistant pour qu'elle devine tout à coup où il se porte, malgré les dix mètres qui nous séparent. Nos yeux se croisent encore et elle garde ses jambes écartées en me faisant comprendre que je peux continuer à la regarder. Je devine le renflement de sa vulve et sens la chaleur envahir mon bas ventre, je serre mes cuisses pour presser mes testicules. Ma main entoure mon verre avec la forte sensation de tenir fermement mon sexe et je resserre un peu plus mes doigts sur le verre.

Mais soudain c'est elle qui pose une main à l'intérieur de son genou et la remonte doucement jusqu'à l'entre cuisse. Elle me montre une cuisse magnifique et reprend son léger mouvement de balancier en étendant l'annulaire et le majeur sur sa culotte. Alors je met ma main sur ma cuisse droite et vais me caresser sur le sexe sans ouvrir mon pantalon. Elle prend une grande respiration qui lui gonfle la poitrine et se redresse un peu en gardant ses doigts sur sa culotte et je la vois caresser de plus en plus fort sa vulve et enfoncer le coton blanc dans son vagin des deux doigts.

Cette fois je n'hésite plus et tire la fermeture éclair de mon pantalon et saisi ma bite. Le tissu de mon slip est doux sur ma queue énormément gonflée et je remonte la main jusqu'à mon gland et le serre, relâche la pression, le resserre encore plusieurs fois tandis que la jeune femme ondule ses hanches prises par le mouvement de sa main, je peux parfaitement voir ses lèvres qu'elle coince entre ses doigts en les pressant au même rythme que le mien. Les clients autour ne semblent rien remarquer alors je déboutonne mon pantalon et mon sexe se libère enfin.

Mon gland surgit hors de mon slip avant même que je le retire un peu. La jeune femme est un temps surprise puis me lance un regard qui m'invite à lui en montrer plus. Je tire le slip et le coince sous mes testicules pour lui dévoiler ma queue toute entière.

En contractant les abdominaux, j'enfonce mon gland dans mon nombril dans un mouvement de va et vient. Elle fixe mon engin, ne le quitte plus des yeux. Son visage s'émeut à chacun de mes mouvements et sa bouche se déforme sous le désir. Elle à mis la main dans sa culotte maintenant et son miel traverse sa culotte, la tache s'agrandissant de plus en plus. Elle plonge dans mes yeux un regard suppliant et passe sa langue sur ses lèvres. Les miennes sont de plus en plus sèches.

J'empoigne mon sexe mais retire l'idée de mettre mon autre main, ce qui ne serait pas discret alors que les clients affluent. Je caresse ma queue, monte et descend d'abord lentement et comme elle me montre du nez, j'accélère le mouvement en prenant bien soin de remonter jusqu'en haut pour redescendre dans un geste semblant interminable. Mon sexe l'excite, je le sens, son miel s'échappe par un bord de sa culotte et je le vois couler sur le haut de sa cuisse, elle jouit ! Je me concentre pour éjaculer à mon tour.

Elle est belle et très excitante, ce n'est pas trop difficile. Je retarde un peu car le plaisir m'est intense aussi et je n'ai pas vraiment envie qu'il se termine. Elle, elle a retirer sa main de sa culotte et se frotte le haut de sa cuisse mouillée, elle étale sa crème et je vois briller l'intérieur de sa cuisse. Je lui fait un signe de la tête pour lui signifié que c'est le moment. Je serre plus encore ma bite et mon jus jaillit en cinq jets qui éclaboussent ma poitrine, puis trois autres moins puissants qui coulent sur mes doigts. Elle me sourit et se reprend d'un seul coup quand son mec revient la voir quelques instants. 

Notre histoire :

Nous nous sommes rencontrés il y a quatre mois. J'ai tout de suite senti qu'elle était celle que j'attendait depuis 6 ans déjà. Il faut que je vous dise que c'est à cette époque que j'ai rencontré et perdu l'amour. Zoenje a fait ressurgir ces sentiments si précieux. Seulement notre aventure sexuelle à été délicate dès le départ : MST, les préservatifs qui me sont douloureux et une tension entre nous deux qui n'est toujours pas retombée.
Avec Zoenje j'ai du attendre que nos problêmes s'arrangent pour avoir les premières expériences interressantes.
Elle aime se caresser, à chaque fois, pendant que je la pénètre et elle jouit rapidemment. Il semble qu'elle va chercher loin sa jouissance et les muscles de son bas ventre lui sont douloureux une fois l'orgasme passé de sorte que je n'ai pas pu recommencer dans ces moments là. De mon coté les choses ont été trop vite pour aprécier et je reste sur ma faim tout en ne sachant pas comment je me sentirais quand elle sera plus gourmande. Mais j'ai tant envie de la faire jouir et  je sais que tout reste encore à faire.